Alcoolique

Ce qui a toujours été une simple rumeur s’avère une vérité révélée par le chanteur lui-même, il a un très fort penchant pour l’alcool. Avec ses chorégraphies endiablées et sa pop ultra-rythmée, Psy donne l’image d’un homme fêtard et enjoué. Pourtant lors d’une entrevue au magazine britannique Sunday Times, le chanteur confie boire beaucoup, après une enfance passée auprès d’un père violent.

Sans détour, il avoue être très dépendant de l’alcool. Il boit quand il est triste, quand il est malheureux, quand il est heureux, quand il veut oublier son enfance, quand il constate qu’il est devenu une loque humaine malgré son immense succès, quand il fait beau, quand il pleut, href, tous les prétextes sont bons. Il boit surtout du soju, un alcool très populaire dans son pays. Il est tellement heureux avec sa bouteille qu’elle est devenue sa meilleure amie. Non seulement il est devenu alcoolique, mais il ne peut plus se passer de ses cigarettes, allant jusqu’à fumer quatre paquets par jour.

Lors d’une interview accordée à la presse britannique, Psy revient sur son enfance difficile, rejeté par un père intransigeant. Celui-ci a en effet tenté par la force, à coups de gifles, de lui faire reprendre l’entreprise familiale avant de l’envoyer à Boston pour étudier la musique. Mais Psy échoue et revient en Corée. En 2001, il est arrêté pour possession de drogue et passe un mois à l’ombre.

Malgré son fulgurant succès, son clip Gangnam Style a été vu 1,7 milliards de fois sur Youtube, la chanteur coréen semble toujours vivre en proie aux tourments de son passé. Ce qui ne l’empêche cependant pas de travailler à de nouveaux tubes. Sur son compte Twitter, le show man affirme avoir réalisé 3 titres de son prochain album, moins de 4 mois seulement après la sortie de son second hit, Gentleman. Dans ce clip à l’humour bien particulier, il fait de son mieux pour être le moins galant possible avec les jeunes femmes qu’il côtoie en rendez-vous. Succès moins important que son premier carton, la vidéo a tout de même été vue 500 millions de fois!

Sans se départir de ses pas de danse, Psy, de son vrai nom Park Jae-sang, rend une fois de plus honneur à la K-pop, la musique coréenne désormais en vogue en Occident.

La fille de l’autre

Pas toujours facile d’être la fille d’un sex-symbol des année 60. C’est le cas de Mariska Hargitay, une comédienne fort populaire à la télé, qui avait pour parents, Jane Mansfield et Mickey Hargitay, le Tarza de l’époque.

Toute sa vie, Mariska a dû lutter contre les préjugés et tenté de faire comprendre à ses propres enfants que leur grand-mère n’était pas du tout la fille super sexy que dépeint Hollywood depuis sa mort tragique. Très jeune au moment du décès de sa mère, Mariska a alors cru tout ce que les médias racontaient. On jugeait alors Mansfield comme une fille superficielle au quotient intellectuel de 60 et que c’est uniquement son physique imposant qui lui a permis de faire carrière. Or, tout ça était faux. Avec un QI de 163 (alors que la moyenne est de 100), elle avait mieux à montrer que la grosseur de ses seins laiteux de poupoune écervelée. Pour tout le monde, Mansfield n’était qu’une vulgaire copie de Marilyn qui avait épousé Hargitay, un ancien émigré hongrois qui remportera le titre de Monsieur Univers avant d’incarner Tarzan à l’écran.

Devenue star à son tour dans le rôle du lieutenant Olivia Benson, l’héroïne féminine de New York, unité spéciale, Mariska considère aujourd’hui que tout ce qui avait été dit sur sa célèbre mère l’avait grandement affectée. Difficile pour un fille d’accepter sans rien dire, les épithètes collées à son nom comme femme sans cervelle, putain, traînée et imbécile. Toute sa vie, elle a été hantée par le photos sexy de sa mère entretenant ainsi, un rapport amour/haine avec elle.

C’est que dans les écoles BCBG, catholiques et privées dans lesquelles la fillette a été scolarisée après la mort tragique de Jane Mansfield, en 1967, mieux valait montrer patte blanche. A commencer par la Marymount High School de Los Angeles sur Sunset Boulevard, un nid d’héritières où Mariska a étudié dans les années soixante-dix. Tirées à quatre épingles, les élèves y portent jusqu’à la caricature l’uniforme bleu marine et le béret de matelot. On est à des années-lumières des tenues racoleuses de Jayne Mansfield, de ses strip-teases à 10 000 dollars au Venezuela, en Bolivie, en Thaïlande, au Sud-Vietnam, en URSS...

Trop jeune pour la défendre, à chaque attaque de l’establishment bien-pensant contre sa mère qualifiée à la fin de sa vie de pourriture alcolo bourrée de drogue et d’alcool, la jeune femme prenait le maquis. Le fantôme de la star aux mille postiches lui faisait peur. Afin de conjurer la menace, Mariska épousait les valeurs saines et sportives de l’American Way of Life.

Le 27 juin 1967, vers 2 heures du matin, sur une voie rapide près de La Nouvelle-Orléans, la mort était au rendes-vous. A bord d’une Buick Electra 225 bleu métallisé, Jayne Mansfield avait terminé sa route de la plus horrible des manières: la haut du crâne trépané – on dira même décapitée – après avoir violemment percuté par l’arrière un semi-remorque de 18 roues. Mariska et ses deux frères, Zoltan et Miklos, se trouvaient dans le véhicule. Miraculés, ils avaient été péniblement désincarcérés de la mâchoire de tôle, puis étaient restés immobilisé sur des brancards plusieurs heures sur le bas-côté où ils avaient reçu les premiers secours. Mariska, la plus jeune de la famille, n’avait que trois ans.

Toutes ces humiliations et épreuves ont fait d’elle, une femme très forte. Mariska est aujourd’hui mariée avec l’acteur Peter Hermann, avec qui elle a trois enfants, August, sept ans, Amaya, une petite fille afro-américaine adoptée en 2011, et Andrew, lui aussi adopté quelques mois plus tard. Elle dirige une fondation en faveur des jeunes femmes agressées sexuellement. Son existence est équilibrée et épanouie, à l’opposé de celle, brève et déjantée, de sa mère. Mais elle conserve précieusement la flamme unique qui fit de Jayne Mansfield une star aimée par des millions de gens et un mythe à tout jamais.

45 ans plus tard, si les plaies sont encore bien ouvertes, Mariska n’hésite pas à parler de sa mère avec beaucoup de respect et, sans fausse honte, elle répétera toujours que Jane était une très bonne mère et qu’elle l’adore.

Paranoïaque
David Bowie qu’on ne voit presque plus nulle part ne va pas vraiment bien. L’on sait que par le passé, il a éprouvé de sérieux problèmes de santé, mais en vieillissant, il serait de plus en plus paranoïaque selon une biographie non autorisée laquelle a paru l'année dernière. L’auteur Paul Trynka a révélé bien des petits secrets du chanteur.

Dans ce livre, Starman : Davie Bowie, on raconte que Bowie refuse maintenant de sortir de chez lui, se sentant constamment menacé de mort. Il a peur de subir le même sort que John Lennon. Pour rendre son récit encore plus croustillant et mousser les ventes à venir, l’auteur parle beaucoup de la bisexualité du chanteur, du fait qu’il a longtemps flirté avec la scientologie, se gave de médicaments, a un caractère de chien et vit constamment dans la peur. Peur de vivre, de mourir, de perdre de l’argent, d’être malade, etc. etc.

Il aurait même engagé des bodyguards chargés de veiller sur lui 24/7. Inutile d’ajouter qu’il tremble de peur à l’idée de voir sa vie privée étalée dans les médias. Il ne souhaitait pas ça pour un empire, mais faut-il lui rappeler que c’est la rançon de la gloire. Quand tout va bien dans leur vie, les artistes s’empressent de parler aux médias et se laisser photographier. Quand l’inverse se produit, ils se cachent et crient à l’injustice.

Theo (le chiot) et Beau (l'enfant), les deux stars d'une belle histoire de siestes communes.

"C'était le plus timide de tous les chiots que nous avons rencontré, jusqu'à ce qu'il saute instantanément sur les genoux de mon fils Beau dès qu'il est entré dans l'enclos. L'expression sur son petit visage poilu a suffi à sceller l'affaire pour moi, nous avions trouvé le nouveau membre de la famille", raconte-t-elle.

Mais ce petit chien n'est pas seulement le nouveau membre d'une famille. Depuis, le chiot, rebaptisé Theo, est aussi devenu l'une des stars d'une série de photos de Jessica Shyba sur son compte Instagram (qui dépasse maintenant les 20.000 abonnés). A priori, il semble apprécier sa nouvelle vie... particulièrement l'heure de la sieste avec Beau.

Chaque jour, à l'heure de la sieste de Beau (23 mois), Theo veut le suivre.

Une fois Beau endormi, elle ramène le chiot dans la pièce. "Il s'affale juste devant Beau et ils dorment alors pendant au moins deux heures tous les deux", a-t-elle raconté à nos collègues du Huffington Post américain par mail.

Leurs siestes quotidiennes se sont transformées en "ce que je ne peux décrire que comme l'amitié la plus belle et naturelle que j'ai pu voir", précise Jessica Shyba.

Bien sûr, il y a un hashtag (mot-clé) sur les réseaux sociaux : #TheoandBeau.

"Je pense que Theo a été abandonné par sa mère très tôt, on dirait que Beau est un frère affectif pour lui. Il n'a que 8 semaines, donc il est encore très jeune", explique-t-elle.

Sur son blog, elle espère que ce projet ira loin. "J'ai bon espoir d'en faire un petit livre et de faire don des recettes à la SPA de Santa Cruz".

Une belle histoire comme on aimerait en voir plus souvent dans les médias !

La poigne solide

Si elle n’existait pas, il faudrait l’inventer. Anne-France Goldwater qui anime avec brio l’émission L’Arbite tous les vendredis soir à 19h à l’antenne de V, n’a strictement rien à envier à Judge Judy, animatrice de télé américaine.

Membre du barreau, fondatrice du cabinet Goldwater Dubé, ardente défenseuse de la cause gay et lesbienne, victorieuse en Cour d’Appel dans l’affaire Éric et Lola : personne d’autre qu’elle ne pouvait être la Juge Judy du Québec.

Le principe de l’émission qui en est à sa troisième saison est fort simple. Offrir une réponse rapide au règlement d’un litige. En d’autres mots : un divertissement didactique au service du spectateur. Pour incarner l’arbitre, il fallait quelqu’un qui ait de la poigne et un solide bagage judiciaire. Le nom de Maître Goldwater, amatrice et habituée des émotions fortes, avait tout dès lors d’une évidence. Elle s’exprime souvent dans un français boiteux, mais elle n’a pas la langue dans sa poche et mène son show de main de maître.

Anne-France Goldwater n’est pas la dernière venue. Elle est avocate spécialisée dans le droit de la famille et
associée principale du cabinet juridique Goldwater, Dubé, qu'elle a fondé en 1981. Diplômée de l’Université McGill, elle a été admise au Barreau en 1981. Elle est l’auteure de plusieurs articles sur l’aliénation parentale, la garde en cas de déménagement longue distance, et la faillite dans le cadre du droit de la famille. Elle vient de publier des articles importants sur l’enrichissement injustifié entre les conjoints de fait et sur les nouveaux défis de la filiation dans les cas de reproduction assistée.

Elle a contesté la constitutionalité des barèmes québécois de pension alimentaire pour enfants, et a obtenu que les tribunaux reconnaissent leur caractère discriminatoire envers les femmes, sans pour autant invalider la loi. Ce débat constitutionnel est actuellement en délibéré devant la Cour d'appel.

Elle parle couramment l'anglais, le français, l'espagnol et le yiddish. Elle a un bon sens de l’humour et ne rate aucune occasion de remettre les gens à leur place.